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 Ambroisia Katharine Dolohov [En cours de rédaction...]

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Ambroisia Katharine Dolohov [En cours de rédaction...] Empty
MessageSujet: Ambroisia Katharine Dolohov [En cours de rédaction...]   Ambroisia Katharine Dolohov [En cours de rédaction...] Icon_minitimeMer 29 Aoû - 14:59



✖ Ambroisia Katharine Dolohov ✖

Bonjour ! Je m'appelle Ambroisia Katharine Dolohov, mais les gens ont l'habitude de m'appeller Ambre, simplement Ambre sous Avril Lavigne. J'ai 18 printemps vécu en hiver et je suis née à Londres, près de la Tour de Londres et la rivière Thames avec une acsendance de Sang Pur. Je suis relativement adulte - bien que je me sente loin d'être femme - ce qui fait que j'étudie dans le but de devenir médicomage . Je suis actuellement Célibataire - et heureuse de l'être - et je penche plutôt pour les idées de Voldemort parce qu' il est de mon devoir de faire régner la pureté de nos rangs parmi les sorciers... Et que c'est là tout ce que je sais. Mon patronus est alors... aucun, les mangemorts n'en ont pas et mon épouvantard prend la forme de... mon reflet?


Ambroisia Katharine Dolohov [En cours de rédaction...] Mini_120829051232573579


✖ Moi et mon tempéremment ✖
Mes petites définitions !


« Je ne suis pas... Amusante. Je ne suis pas gentille... Pas plus que très respectueuse, d'ailleurs... En fait, je ne suis pas très à l'aise avec les relations humaines... Les gens me mettent dans l'embarras... Je ne sais jamais quoi leur dire... ou comment agir avec eux. à croire qu'ils sont sur une autre planète. quand j'aime, je le fais mal, quand je déteste, c'est encore pire! L'humanité, ce n'est pas pour moi... Suis-je anormale? Et ne jouer pas sur la réthorique... Je n'ai pas besoin d'être consolée de quoi que ce soit... »



✖ Mon histoire, Ma vie, Mon bordel ✖
Ce qui fait que je suis moi !


1967 – 17 juillet, Londres.

« Cours, Ambre! Cours! »

Le rire cristallin d’une gamine sous le soleil de plomb fracassa le silence. Il se répandit sur le sol au même rythme que sa cadence. Ses pas sautillants à la commande de sa course contre des monstres invisibles. Elle se mit à nouveau à rire, de plus en fort jusqu’à crier au loup. Pieds nus, elle traversait les pavés salis par les années d’accumulation perçant le linceul de sa chair. Les enfants ont l’insouciance de l’instant. Il goûte à un rien, croyant découvrir un monde, une réalité. Ils s’écroulent sous une blessure, perdent quelques larmes, et puis, sans comprendre, ils reprennent leur course. Ils ne courbent pas l’échine, ils avancent dans l’insignifiance bénite des Dieux qui les avilissent sous les fards des années. Ambroisia était belle, Ambroisia était petite. Ambroisia était parfaite, du moins, comme pouvait l’être une petite fille. D’une descendance choyée parmi les grands, d’une éducation huppée parmi les philosophes, d’une étiquette impeccables parmi les menteurs ; Ambre courait parce qu’on lui avait demandé. C’était une bonne fille de celles qui ne pensent que lorsqu’on leur demande.

« Plus vite, Ambre, il va te rattraper! »

Elle courrait contre tous ceux qui la noieraient, tôt ou tard, contre ceux qui la blesseraient, contre le temps qu’elle ne pouvait maintenant plus tenir entre ses mains. Trop tard. Elle fût ramener en arrière par un jeune garçon qui la maintenait ferment. Sa voix s’éleva, meurtrière. Elle perça le ciel et une volée de pigeons attendant la fin du prochain mendiant qui avait pris une dose de trop. Une charogne pour le repas sous l’indifférence des enfants qui se débattaient pour un jeu. Un stupide jeu sans conséquence. C’était si simple. Elle finit par se libérer pour courir à reculons et le regarder de haut, vainqueur de sa propre initiative :

« Jamais tu ne m’attraperas pour de bon, Regulus ! »

C’était une promesse en l’air avant qu’elle n’atterrisse sur le sol sous l’emprise de son adversaire. Ses jupons s’entremêlaient sur ses jambes écorchées et sales pendant qu’elle tentait, vainement, de reprendre ce qui lui restait d’échappatoire Il ne restait alors que deux enfants se livrant une guerre tout ce qu’il y avait de plus solennelle.

« Ambroisia! Votre mère vous demande. »

Un temps-mort. Le silence, à nouveau. Cette voix stridente qui mettait fin au bon temps. Un serment fait au temps pour abolir le plaisir, ne laisser que les exigences. Les enfants se relevèrent des pavés pendant que la jolie poupée tentait de nettoyer ses dentelles sans succès. Son ami en faisait de même Ils ne se dirent rien. Un regard suffit pour qu’ils se fassent le serment d’être encore là demain. Il n’y a rien de plus sincère que les mots qui ne se disent pas. Un sourire taquin et la petite porcelaine partit en direction des grands escaliers de la plus sombre demeure du quartier.


***

Elle tomba face contre terre, sentant un genou se poser entre ses jambes. Il était là.

« La ferme. »

Sa bouche tout près.

« La ferme. »

Son corps tout près.

« La ferme. »

Son sexe tout près.

« La ferme. »

Sa main se resserra autour de son cou. Il lui semblait que son œsophage ne tiendrait pas. Elle émit un drôlement de sifflement pendant que l’autre reniflait son odeur. Il avait perdu son visage à travers ses cheveux, fouillant dans sa tête : il lisait en elle. Lisait sur la répulsion de son corps, l’envie de fuir, le dégoût de sa propre scène. Son souffle s’accélérait. Non, elle ne bougerait plus : elle ne le pouvait. Elle était en position de faiblesse.

« Qui est ton maître, Ambre ? »

Une voix résonnante, puissante, excitée. Sa bouche monstrueusement ouverte vint à son épaule, laissant un peu de salive à la base de son cou. Elle tenta de bouger ; elle fut enfoncé au sol.

« Vous. »

Faible, sa voix était faible. Rageuse de devoir admettre sa défaite, sa vulnérabilité.

« Répète-le. »

Son emprise se fit plus insistance, plus brutale. Il n’avait pas d’ongles, mais il lui transperçait la peau. Dans le peu de résistance qui lui restait, Ambre se fit muette. Elle ne voulait rien dire… Pas encore. Pas dans cette position. Pas ici. Pas maintenant.

Il n’attendit rien. Elle ne répondit pas : il força la chose.
Sa main retira la cape qui devait la couvrir la laissant dans la nudité dans laquelle ils s'étaitn tous deux trouvés.
Sa main libre traça sa colonne en y plantant une phalange de temps à autres avant de l'engloutir de tout son être. Elle sur elle, lui accroupi tel un animal en proie à ses bas instincts. Son odeur, sa chair, ses courbes, sa proximité, sa fragilité, sa résistence...
Il la pénétra sous une inhalation douloureuse de la jeune fille qui se retint à grande peine d’évacuer un sanglot. Un coup. Deux coups. Forts. Puissants. Dominateur. Son visage râpait le sol au rythme du bassin de l’homme.

« Répète-le. »

Un ordre impératif. Elle ne voulait pas.
Insoumise, elle devrait se soumettre. Le loup agrippa ses dents à l’os de son épaule, mordant jusqu’à sentir les muscles se déplacer.
Elle hurla et il la relâcha en même temps qu’il prenait de l’aise. Il n’avait peut-être pas l’esprit, mais il dompterait son corps jusqu’à ce qu’il ne réponde plus de lui. Encore un coup. Et encore. Et encore. Jusqu’à ce qu’elle se mette à trembler dans une répugnance qui allait au-delà de tout plaisir charnel, soufflant de plus en plus fort sur chaque mouvement vif qu'il lui infligeait. Sans douceur, sans précaution, sans intérêt : sa satisfaction était de mise, pas la sienne.

« Répète-le! »

Il avait jusqu’à cracher dans sa propre excitation. Il devait l’avoir, à tout prix. Ambre sentait les larmes lui montés aux yeux et le sang couler le long de sa cuisse. Elle voulait le récupérer, s’évader… Mais il était trop fort. Elle tentait même de se recroqueviller sur elle-même pendant que des soupirs se mourraient en longs râles de souffrance. Lui contre son dos sentait la sueur, l’animal. Il poussa son vice jusqu’à la posséder tout entièrement comme l’aurait fait l’alpha des deux. Elle n’était pas spéciale, ni même séduisante : elle subissait par dépit de pouvoir.

Au sang se mêla un venin âcre qui lui annonçait que son calvaire était achevé. Il l’avait marqué. De toute sa grandeur, il l’avait marqué au corps. C’était un tatouage indélébile de l’esprit. Frissonnante par ses propres palpitations, elle s’était mise à pleurer en silence, émettant de longs râles en manque d’oxygène. Le loup s’était exécutée et à présent qu’il avait rassasié sa faim. Il observait le résultat. Délectable. Aucune de ses créatures ne pouvaient se monter contre lui… Aucune.

Humiliée.

Et puis, bientôt, le souffle s’éteignit. Ses joues humides s’étanchèren et son regard devint livide. Elle n’avait plus d’âme : elle lui avait vendu.

« Répète-le. »

Moment propice pour une seconde de faiblesse.

« Vous. »

Une voix claire.
Se penchant sur ses propres mains, elle se mit alors à vomir frénétiquement avant de se tourner sur le côté, passant ses mains sur l’entièreté de son anatomie pour en faire disparaître les traces.. se laver de toute cette nuit, de ses paroles, de son appartenance.

Trois secondes de trop : il vint lui empoigner le menton. Son haleine fétide qui parcourait le sourire de nacré de Greyback.

« Souviens-t-en. »

Et il la relâcha à son propre sort s’éloignant sous l’aube qui prenait forme.

SA première nuit de pleine lune, Ambroisia s’en souvient encore. Recroquevillée dans le cimetière de Godric’s Hollow, elle soupira une dernière fois avant de céder à sa toute première mort de conscience.

Elle était à lui.


✖ Quelques détails ✖
Non, mais qu'est-ce que tu me veux?


♦️ Une particularité ?
« C'est un secret entre mes parents et Greyback... Et le Lord. Je ne suis pas... humaine. Je ne l'ai pratiquement jamais été, du plus loin que je me souvienne. C'est un mal qui me pourchase, qui me dévore. Il m'entretient entre le monde des hommes et celui des bêtes... Je ne suis ni l'un, ni l'autre : je suis à demi. J'existe seulement d'une moitié. La tête dans un corps enchaîné à un autre... Je suis lycane, contre moi, mais surtout pour lui. »

♦️ Un animal de compagnie ?
« Aucun... J'ai bien assez de... Enfin, vous comprenez. »

♦️ Activités extra-scolaire ?
« J'aimais bien le quidditch... Mais moi, ma place, c'est dans une taverne devant un verre... Quelque part où y'a un vieux chansonnier qui gratte une guitare usée. Un peu de country dans une ambiance morne sous une neon moon, juste le temps d'un Whisky. Je n'aime pas être entourée... Je préfère de loin un peu de solitude : elle me rassure. Là où les gens ne peuvent m'atteindre, là où les gens ne cherchent ni à me connaître, ni à me parler. Juste... De la paix. »

♦️ Votre place dans l'intrigue ?
A Poudlard : « Je n'y suis pas. Je n'interviens pas à Poudlard : je m'en tiens loin. Très loin. Je n'y accorde pas de bons souvenirs... Pour oublier, il suffit de fermer les yeux et de ne jamais y retourner. »

A l'extérieur : « Mangemorte. Rien de moin, rien de plus. Je suis ce qu'on a voulu faire de moi. Je sers mon Seigneur et mon Maître. C'est ce qu'on a fait de moi, c'est pourquoi j'existe. »




✖ Moi, écrivain ! ✖
derrière l'ordi
Mon pseudo est Velours Noir et je certifie bien avoir plus de 16 ans comme le demande le règlement en affirmant avoir 21 ans parce que je sais que ce forum possède un contexte très sombre. Je tiens alors à dire que ce que j'aime le plus sur ce forum c'est mes petits namours!!!! <3 Parce que je les adore et que le forum est une petite merveille... et qu'au fond, on adore les Maraudeurs, niak niak niak mais que par contre je suis un peu déçu par ... Euuuh... je dois être déçue de quelque chose, là? En tout cas j'ai trouvé le forum à cet endroit : dans el coeur de Lily et James... J'ai fait une opération à coeur ouvert et qu'ayant bien lu le règlement, le code se trouve être Ok by Moi-même because I love myself Cool! Je pense alors être ici dans une fréquence de 1/7 à 7/7. Un petit mot pour la fin ? Les bébés... Vous êtes géniaux!

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